Quelles promotions de grade pour l’année 2016 ? (suite)
Voici venue la fin de la « saga des taux »…
Le 3 septembre 2015, la DRH ministérielle a réuni les organisations syndicales afin de discuter des taux de promotion dans les grades supérieurs des différents corps du ministère des affaires sociales et de la santé pour les trois années à venir (2016, 2017, 2018).
Plus de 6 mois après cette réunion, et après des tractations interminables de notre ministère avec le « guichet unique » (les interlocuteurs de notre ministre aux ministères de la Fonction Publique et des finances), les ratios promus/promouvables ont été arbitrés…
(suite…)
Réforme du code du travail – Mobilisation du 31 mars 2016
Pour le retrait du projet de loi El Khomri et pour de meilleurs salaires, Tous en grève le 31 mars !
Le projet de loi MEDEF / Valls / El Khomri sur le code du travail a été retouché à la marge mais son noyau dur reste intact ! Les régressions défavorables aux salariés sont toujours là :
- Inversion de la hiérarchie des normes = possibilité de faire primer un accord d’entreprise sur un accord de branche ou sur la loi, même si cet accord est moins favorable
- Affaiblissement des conventions collectives
- Flexibilisation accrue du temps de travail
- Facilités de licenciement
- Contournement des syndicats par l’instauration du référendum sur les projets patronaux, où la liberté de vote des salariés peut être écrasée par la pression patronale comme cela s’est vu dans de multiples exemples récents.
Négociations salariales du 17 mars : le compte n’y est pas!
Le dégel du point d’indice a été obtenu par la mobilisation.
Les augmentations d’un niveau satisfaisant le seront par la même voie !
A l’occasion du rendez-vous salarial ce jeudi 17 mars, la ministre de la Fonction publique vient d’annoncer le dégel de la valeur du point d’indice.
Le Code du Travail est attaqué, cela nous concerne tous !
Répondant aux souhaits du MEDEF, le projet de loi El Khomry vise à mettre par terre le code du travail avec notamment :
• remise en cause possible des accords de branche
• fin des 35 heures (dixit Emmanuel Macron !)
• des licenciements économiques facilités.